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Entre les ombres
Entre les ombres reflète un été trop chaud que l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres, aux heures tardives. Le sable entre les mains, le bleu aussi. Une lumière, une poussière que l'on retient. Ici le sable glisse et se cristallise. Les corps courbent, rident dans l'eau opaque. Le temps semble figé dans ses instants fragiles et éphémères qui nous traversent et nous habitent.
Été 2020
Série de 11 photographies
D’après négatifs 6x6 numérisés
Dimensions variables
Animal (en cours)
Entre les ombres
Entre les ombres est un projet en cours. Il reflète un été trop chaud quel l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres.
été 2020
Entre les ombres
Entre les ombres est un projet en cours. Il reflète un été trop chaud quel l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres.
été 2020
Entre les ombres
Entre les ombres est un projet en cours. Il reflète un été trop chaud quel l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres.
été 2020
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Nos cris intérieurs
À quatre, nous avons appris à concilier autrement nos envies, nos besoins et nos individualités changeantes.
En Bretagne, je tends à réunir ma mère, ma soeur, ma fille, un quatuor de personnalités féminines mêlant force et tendresse, droites et bancales à la fois, mais desquelles émerge une certaine sérénité d’une complicité construite dans les années de deuil. Il est question de rendre compte de la douceur qui s’immisce entre les êtres, explorer nos silences, nos regards, et toucher ce qui nous lie et se tait depuis neuf ans. Une infime lueur de vie qui s’accroche, après l’absence.
Chapitre en cours
Photographies argentiques et poèmes
Ce projet a obtenu le soutien à la création de la DRAC Bretagne en 2022.
ici
l’horizon comme respiration
le ciel comme abris
ici
les herbes rousses couchées sous le poids de l’hiver
le vertige des roches noires qui plongent
les sentiers en dentelle qui surplombent
ici
la glace qui résiste
le bleu qui m’aspire
vos pas qui m’échappent
ici
vos cris dans le vent
le sol qui se dérobe
l’immensité des éléments
ici
mon coeur au bord du vide
mon être au précipice
je serais bien restée
danser avec les cormorans.
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